Quand Brutus Derissaint fait l’éloge de Tamara Suffren sur l’album « Bravo » de Zenglen
La formation musicale Zenglen s’offre un nouvel album ayant pour titre « Bravo » et ce, pour le plaisir des mélomanes et ses fanatiques. De ces artistes qui ont mis leurs voix sur l’album, il y a celle qui se surnomme La Tamiou, de son vrai nom Tamara Suffren. Épaté par la voix de Tamara, le maître à penser de Zenglen, en l’occurrence, le maestro Brutus en parle et explique à cet effet pourquoi c’est elle qu’il a choisie et non une autre chanteuse.
Brutus Derissaint parle de façon élogieuse de Tamara Suffren à l’émission «gade dodo» diffusée sur les réseaux sociaux. «De ces filles qui chantent extrêmement bien en ce moment, il y a le nom de Tamara Suffren», déclare le maestro de Zenglen qui, par ailleurs, souligne que ce qu l’intéresse quand il collabore avec un(e) artiste c’est le talent et la musique.
Celui qui avait convoqué Tamara Suffren pour mettre la voix sur une seule musique titrée «Des je t’aime» au final, a changé d’avis, après avoir écouté la façon dont l’interprète de « Banm lanmou» a chanté la chanson pour laquelle on l’avait convoquée. Et Brutus, relate une anecdote. «Une fois qu’elle a fini de chanter le morceau « Des je t’aime », je lui ai appelée en lui disant Tamu chérie est ce que tu peux essayer un autre truc pour moi ?» raconte le compositeur en souriant au micro de Dodo. « C’est une voix exceptionnelle. Un talent exceptionnel que tout le monde doit connaître», poursuit-il en disant que ce que fait Zenglen, c’est d’aller à la recherche des talents peu connus pour les présenter du grand public. C’est ce qui, croit-il, diffère Zenglen des autres groupes musicaux.
Talentueuse, Tamara Suffren est cette voix féminine qui s’est distinguée sur l’album «Bravo» de Zenglen en interprétant deux morceaux, à savoir : «Des je t’aime» et «Jwe kwen ». Tamara Suffren est l’une des rares artistes féminines de cette génération ( de 2019 à nos jours) qui mettent au devant de la scène beaucoup plus son talent que sa corpulence.
